The making of
J'ai essayé de stimuler le robot à un "niveau émotionnel". Mon objectif était de voir si le robot pouvait faire preuve d'empathie ou comment il répondait à des questions émotionnelles. Je voulais connaître l'intelligence émotionnelle des robots. Pour cette tâche, j'ai travaillé avec ChatGTP et Character.ai. Je me suis imaginé journaliste et j'ai fait une simulation dans laquelle j'étais l'intervieweur et le robot devait répondre en tant que Claude Monet. Il l'a bien compris. J'ai posé les mêmes questions aux deux machines. Ce que j'ai trouvé très intéressant, c'est qu'elles ont donné exactement les mêmes réponses. CARACTERE.AI POINTS POSITIFS : C'est avec ce robot que j'ai le mieux travaillé. Je lui ai posé de nombreuses questions sur ses sentiments personnels, ses amours, ses moments de bonheur, etc. Il m'a donné de bonnes réponses, des réponses pleines de sentiments. Et il a souvent donné des explications très po